L’aménagement du carrefour de la Gaîté en débat

SO01.02.17

Vendredi soir, avait lieu à la salle des fêtes, la présentation du projet phare de la mandature, l’aménagement du carrefour de la Gaîté et la création d’un véritable centre-ville à Lacanau. Cette réunion s’est tenue en l’absence de Laurent Peyrondet, le maire, suite au décès de son père, l’ancien premier magistrat, Michel peyrondet.

Adrien Debever, adjoint aux finances, et Jérémy Boisson, conseiller délégué à la communauté de communes, qui avaient pris place à la tribune aux côtés des techniciens ont invité l’assistance à observer une minute de silence, avant d’entamer l’exposition du projet avec Annabel Casses et Pierre-Antonin Megali, associés de l’agence Desurb, spécialisée dans la programmation urbaine, et Martin Renard, de la mairie.

Halle festive et culturelle

D’un carrefour on fera une place, un vaste centre, avec la récupération de terrains. La création d’un plateau sans trottoir créera une continuité entre l’actuel pôle d’activités, le laboratoire, les commerces et le restaurant qui verrait sa terrasse étendue à côté d’un terrain de pétanque. La future halle de marché lui fera face et aura une vocation à la fois festive et culturelle. Elle sera accompagnée de la nouvelle poste et d’un commerce attractif comme le tabac presse. Un espace de jeux pour enfants, une zone de pique-nique côté médiathèque devraient compléter cet espace de vie. L’ancienne salle des fêtes privée est placée en zone réservée, mais n’a pas de destination précise en l’état.

La sécurisation se fera avec un passage en zone 30 et les places de parking seront reconfigurées. Pour que le projet puisse pleinement se réaliser, les élus espèrent pouvoir obtenir la réalisation du barreau sud de contournement et l’aménagement des deux autres carrefours, au monument aux morts et devant l’ancien Centre communal d’action sociale.

Les questions ont fusé notamment sur le stationnement. La voiture ne peut pas disparaître, un total de 160 places, sur et autour de la zone est prévu. La question du financement (3 à 4 millions d’euros avec subventions) est déjà réglée, a précisé le financier de la mairie, en point final.

Source : Sud Ouest du 30/01/17

La Chambre régionale de la Cour des Comptes remarque le redressement des comptes de Lacanau depuis 2015

cdcLa presse revient sur le rapport de la Chambre régionale de la Cour des Comptes sur l’évolution des finances de la commune de Lacanau. Le Cour des comptes note la détérioration préoccupante des finances de la ville entre 2011 et 2014 avec une hausse des dépenses et une baisse des recettes (effet ciseaux) ainsi qu’une forte augmentation de l’endettement. Cela confirme donc bien notre diagnostic financier lors de notre arrivée aux responsabilités en 2014. 

La Cour des comptes remarque aussi le redressement des finances de Lacanau en 2015 avec la fin de l’effet ciseaux et un début de désendettement. Amélioration qui reste fragile surtout dans une période où l’Etat réduit brutalement ses dotations aux collectivités locales. Il faut donc poursuivre nos efforts mais nous sommes sur la bonne voie et les premiers résultats de notre politique financière sont maintenant incontestables.

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Le succès de la stratégie de communication à Lacanau

Durant la campagne municipale de 2014, l’équipe de Vivons Lacanau, autour de Laurent Peyrondet, avait fait le constat que la commune souffrait d’une image dégradée et d’une carence de communication à destination des habitants. Nous avions pris l’engagement de mettre en place une communication moderne afin d’informer avec transparence et pédagogie nos administrés sur les actions de la municipalité et de créer une stratégie de marketing territorial afin de promouvoir positivement la marque « Lacanau ».

En mars 2014, le nouveau Maire m’a ainsi confié la délégation de la communication pour mettre en place ce programme.

La première étape fut du domaine de l’organisation interne en créant un vrai service Communication avec à sa tête un Directeur. Cela a permis de réinternaliser certaines tâches et ainsi faire des économies sur les dépenses de fonctionnement et dans le même temps de développer fortement les supports de communication et les champs d’action.

Après deux ans, les résultats sont déjà très appréciables comme le confirme le bel hommage de Sud Ouest dans l’article ci-dessus. Bien sûr, dans ce domaine rien n’est jamais acquis et les projets encore nombreux…l’aventure continue…

SO01.09

Primaire : à Bordeaux, le MoDem en ordre de marche derrière Alain Juppé

FB03.02

A Bordeaux et en Gironde, le MoDem affiche son soutien à la candidature d’Alain Juppé à la primaire à droite. Le parti de François Bayrou en profite pour récupérer plusieurs élus déçus de l’UDI.

Le mercato en football est terminé depuis lundi soir. Au MoDem de Gironde, il n’y a pas de date limite. Le parti de François Bayrou, présidé dans le département par Joan Taris, voit affluer les déçus de l’UDI… voire même des Républicains. Un adjoint d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux, Didier Cazabonne, a choisi de revenir au MoDem déserté en 2012. Même chose pour le conseiller municipal Benoît Martin.

Autres prises de guerre : Alain Dupouy, ex-élu municipal bordelais très proche d’Alain Juppé (il fait d’ailleurs partie des conseillers chargés d’élaborer le projet du candidat à la primaire) et Alain Moga, autre « historique », ancien conseiller général de Bordeaux et ancien adjoint à la mairie de Bordeaux. La dernière en date à quitter l’UDI pour le MoDem est Catherine Mélul, la première-adjointe à la mairie de Gradignan.

Tous derrière Alain Juppé pour la primaire

C’est la volonté affichée du MoDem, à l’image de la stratégie adoptée par François Bayrou. Le candidat naturel pour la Présidentielle 2017 s’appelle Alain Juppé. Mais il doit franchir l’obstacle de la primaire à droite. Le mouvement centriste ne co-organisera pas cette primaire mais appelle ses adhérents à y participer. « Pour co-piloter le camion, il faut être solidaire du résultat, explique Fabien Robert, le chef de file du MoDem à Bordeaux. Mais il est clair que si c’est Sarkozy qui gagne, ce ne sera plus notre affaire ». 

« Si Alain Juppé échoue, on ne pourra pas se reconnaître dans une candidature Sarkozy, poursuit Joan Taris. Mais une candidature Bayrou serait alors naturelle ». « Nous sommes fidèles à François Bayrou et loyaux à Alain Juppé, précise Joan Taris. Nous demandons à chaque adhérent, à chaque sympathisant de participer à la primaire pour pousser derrière la candidature d’Alain Juppé. Il faut un candidat de rassemblement ».

La « famille » se recompose

Le MoDem commence par rassembler la famille centriste. C’est l’heure des « retrouvailles » affirme Fabien Robert. « Nous avons toujours fait partie de la même famille de pensée », estime l’adjoint à la culture à la mairie de Bordeaux. Pour plusieurs des « nouveaux encartés », il s’agit d’un retour au bercail. Didier Cazabonne, adjoint au maire en charge des relations internationales, a été le premier président du MoDem en Gironde. « J’avais eu une divergence de vue avec François Bayrou au second tour de la Présidentielle 2012, explique-t-il. Cela n’avait pas rompu nos liens d’amitié ». 

C’est la position ambiguë du patron de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, qui ne veut pas prendre position en vue de la primaire à droite qui a amené Didier Cazabonne à revenir au MoDem. « Dans les grands choix, il ne faut pas tergiverser, poursuit-il. Alain Juppé est l’homme qu’il faut à la France ». Benoît Martin est sur la même ligne et affirme : « les hésitations du président de l’UDI ne me conviennent pas ». « Je suis resté centriste et juppéiste » résume pour sa part Alain Dupouy qui fut de ceux qui ont œuvré en leur temps à l’installation d’Alain Juppé à Bordeaux. 

La fidélité à Alain Juppé est d’ailleurs ce qui explique l’arrivée d’Alain Moga, en provenance… de l’UMP. « Depuis trois ans, je n’avais plus de carte, explique l’ancien président du club de rugby de Bègles. Les Républicains ? Je ne connais pas (sourire). Je ne peux plus supporter les Sarkozy et les Morano et tous leurs discours excessifs ».

Source : France bleu du 03/02/16 

Retrouvez aussi l’article de Sud Ouest du 04/02/16

Le Sud-Médoc veut le tram D à Saint-Médard

Les élus du Sud-Médoc lancent une pétition commune pour que le Tram D soit prolongé jusqu’à Saint-Médard-en-Jalles pour 2020. 4 000 personnes ont déjà signé.

SO30.11.15

Samedi matin, un stand étant installé à l’entrée du supermarché U de Lacanau. En sortant des courses, la clientèle pouvait apercevoir de grandes affiches mentionnant la future quatrième ligne de tramway de la métropole bordelaise. « Nous sommes ici pour faire signer une pétition, signale Adrien Debever, adjoint au maire de Lacanau et présent sur la liste de Virginie Calmels pour les élections régionales. Nous souhaitons mobiliser le Médoc pour que la ligne D rejoigne au plus vite Saint-Médard-en-Jalles, dans l’idéal dès 2020 ».

Pour le moment, Bordeaux métropole a acté une ligne D partant de la place des Quinconces de Bordeaux et reliant le quartier Cantinolle d’Eysines, à la limite du Taillan-Médoc. Un tracé qui permettrait aux Médocains d’accéder plus facilement au centre-ville de la préfecture de Gironde.

Les travaux débuteront dès le mois de janvier 2016 et devraient s’étaler sur presque trois ans.Un prolongement vers Saint-Médard-en-Jalles est aussi en projet, mais aucune date n’estfixée pour l’instant. « La décision sera prise lors de la réunion plénière de Bordeaux Métropole le 17 décembre. D’ici là, nous espérons faire pression pour que Saint-Médard soit désservi le plus rapidement possible ! »

En quoi les Canaudais se sentiraient concernés par la constructuion d’un tramway à cinquante kilomètres de chez eux ? « Si Eysines-Cantinolles devient le terminus définitif, les Sud-Médocains se retrouveront à prendre le tramway avec tous ceux qui arrivent du nord… Et ça va créer un trafic très lourd. »

Urgence grande ligne D

Alors le collectif, baptisé Urgence grande ligne D, va à la rencontre des habitants de la péninsule, au porte à porte ou sur les marchés, afin de les sensibiliser à la question.

L’opération est soutenue par de nombreux maires médocains, soucieux de dynamiser leurs communes avec l’arrivée du tram.

« Nous avons rencontré les maire de Lacanau, Carcans, Saint-Laurent-du-Médoc et Castelnau. Tous nous soutiennent, explique Michel Barat élu à Saint-Médard. a déjà recueilli plus de quatre mille signatures.

Source : Sud Ouest du 30/11/15