Responsables devant l’Histoire

M_LPVoilà dans quelques minutes la campagne présidentielle se termine, une des plus folles de la Vème République.

Il reste, dimanche, à chaque citoyen français d’assumer une immense responsabilité pour notre devenir collectif et celui de nos enfants !

Finalement les options se résument ainsi :

  • Soit le vote pour Marine Le Pen et quelles que soient les raisons c’est offrir le pays à l’extrême droite.
  • Soit le vote blanc ou l’abstention qui reviennent à laisser faire, y compris le pire.
  • Soit le vote pour Emmanuel Macron avec plus ou moins d’enthousiasme mais avec la garantie de préserver la Démocratie et de laisser une chance à un avenir meilleur.

Crise économique mondiale, chômage de masse, paupérisation des classes moyennes, défiance vis-à-vis du pouvoir politique, recherche de boucs émissaires, une Europe divisée…ces difficultés sont celles que l’on traverse ces dernières années mais c’est aussi celles…de l’Allemagne de 1933 qui engendra par les urnes le pire régime d’extrême droite de tous les temps.

L’Histoire ou la meilleure source de réflexion pour dimanche…

Un saut dans l’inconnu mais peut-être une chance historique pour la France

2017-02-26 09.59.40La situation de notre pays est particulièrement inquiétante. Nous vivons une profonde crise économique, sociale et même sociétale. Le quinquennat agonisant de François Hollande n’aura répondu à aucun des enjeux majeurs auquel la France est confrontée. 5 ans de perdu et une situation qui s’est encore aggravée. Cet échec a également plongé davantage notre vie politique dans une crise profonde de confiance avec les Français. Notre démocratie est malade et donc en danger, en particulier sous la poussée continue des extrêmes porteurs de projets dévastateurs et annonciateurs de chaos pour la France et l’Europe.

Face à un tel état des lieux, notre pays a un besoin d’alternance politique mais pas celle de l’éternel balancier droite/gauche qui sclérose et qui n’est plus audible pour les électeurs. Il faut une alternance par un large rassemblement voire une union nationale des forces de progrès, véritablement réformatrices et dépassant largement les clivages anciens.  

Alain Juppé était le choix le plus rassurant pour porter une dynamique de rassemblement

Alain Juppé portait cet espoir de large rassemblement. Sa personnalité garantissait expérience, sens de l’Etat et capacité d’action et d’ouverture au-delà de sa famille politique. Autant de qualités qui, depuis des décennies, expliquent les succès obtenus, avec les centristes à ses côtés, dans le développement et le dynamisme de Bordeaux et de la Gironde.

Malheureusement, les électeurs de droite en ont décidé autrement, privant ainsi les Français de pouvoir choisir ce grand homme d’Etat pour conduire la destinée du pays les 5 prochaines années. Ainsi va la mécanique des primaires…

Le refus d’ouverture de François Fillon

François Fillon net vainqueur de la primaire de la droite, au lieu de s’appuyer sur cette base solide pour rassembler largement, s’est, de façon incompréhensible, arc-bouté sur son programme conservateur et très marqué par la rigueur. Il a ainsi refusé toutes ouvertures programmatiques en particulier en direction des centristes et de François Bayrou. Et pourtant malgré le succès de la primaire en terme de mobilisation, les 4 millions de votants ne représentent que 10% du corps électoral français…

Bien sûr, l’arrivée par la suite de « l’affaire Pénélope », même s’il ne faut être dupe de rien, a fini de rendre impossible une alliance entre François Fillon et des centristes, qui depuis des années militent pour une moralisation de notre vie publique.

Une 4ème candidature de François Bayrou en ultime recours ?

Le temps de cette curieuse campagne présidentielle avançant, l’identité du porteur des idées centristes restait à trouver. Nous sommes nombreux alors à avoir soutenue l’idée d’une candidature de François Bayrou, finalement, et depuis des années, le mieux placé pour défendre nos valeurs et nos idées. Nous étions aussi lucides sur le contexte extrêmement difficile d’une 4ème candidature au moment où les Français manifestent leur volonté de changement de génération et le peu de temps restant avant le 1er tour. Cette campagne s’annonçait périlleuse et à l’issue très incertaine mais garantissait une voix centriste dans le débat présidentiel.

François Bayrou en a décidé autrement en renonçant à son ambition personnelle et en proposant une alliance sous condition à Emmanuel Macron qu’il juge en meilleur situation pour gagner et faire triompher les idées qu’il porte depuis plus de 10 ans. C’est un acte rare en politique, preuve d’un sens aigu des responsabilités et de l’intérêt supérieur de la nation.

Le pari Macron

Au regard du contexte de cette élection, il faut reconnaitre que le ticket Macron-Bayrou est en capacité de gagner l’élection présidentielle sans le soutien de la droite et de la gauche traditionnelles. Situation déjà approchée par François Bayrou en 2007 mais probablement que la société française n’était pas encore prête à bouleverser le vieux clivage droite/gauche. Aujourd’hui, face à une situation dégradée et un danger des extrêmes bien plus prégnants, le temps est peut-être enfin venu…

Cette alliance séduisante sur le papier ne doit pas faire oublier les réserves et inquiétudes qui portent sur la personne d’Emmanuel Macron.

Son parcours professionnel et sa dépendance financière encore aujourd’hui vis-à-vis du milieu de la haute-finance, sa part de responsabilité dans le bilan économique de François Hollande, son très jeune âge pour assumer de grandes responsabilités, son relatif flou programmatique et ses derniers dérapages en s’aventurant notamment à commenter l’Histoire de France sont autant de signes qui méritent éclaircissement.

Alors soutenu et conseillé maintenant par François Bayrou, cela peut-il lui apporter expérience et profondeur programmatique ? C’est une des nombreuses inconnues qui entourent la campagne d’Emmanuel Macron et demain son éventuelle présidence.

La première attente que nous avons vis-à-vis d’Emmanuel Macron étant, bien sûr, sa capacité à respecter les engagements qu’il a pris en acceptant la main tendue de François Bayrou. Les 4 conditions préalables à l’alliance :

  • Une véritable alternance qui tourne la page du quinquennat raté de François Hollande.
  • Une loi de moralisation de la vie publique qui doit participer à recréer un lien de confiance avec les Français et éviter les dérapages et conflits d’intérêt futurs.
  • Une politique soucieuse de protéger et d’entrainer les plus fragiles dans la dynamique d’unité et de redressement du pays.
  • L’introduction d’une dose de proportionnelle aux élections législatives afin de garantir une meilleure représentativité des citoyens de toutes opinions.

J’y ajouterai la nécessité de préserver et de s’appuyer sur les collectivités locales et la démocratie locale pour construire le redressement de la France. Le formidable maillage des territoires que constitue nos communes et intercommunalités est un atout majeur que François Hollande a mis en grand danger par une politique d’étouffement financier. Des améliorations sont à faire mais par un nouveau pacte de décentralisation qui favorise les investissements de proximité et le dialogue citoyen.

L’alliance avec Emmanuel Macron est donc une prise de risque réelle mais quel autre choix avons-nous au regard de l’offre de cette élection présidentielle ?!

Si Emmanuel Macron confirme dans les semaines à venir qu’il donne toute sa place à François Bayrou, au MoDem et aux idées centristes, alors, oui je suis prêt à faire le pari Macron et à voter pour lui.

.

Adrien Debever

Adjoint au Maire de Lacanau

Trésorier du MoDem Gironde

Le vote le plus important c’est demain !

aj

Demain a lieu le 2ème tour de la primaire de la droite et du centre. Après le grand succès populaire du premier tour, il ne faut pas se démobiliser pour le second. Car si des électeurs peuvent considérer que l’objectif de voir battu certain(s) candidat(s) est atteint, il n’en demeure pas moins, que le choix du possible prochain Président de la République n’est pas encore fait.

Les deux candidats finalistes sont des hommes d’Etat sérieux et expérimentés, il y a néanmoins suffisamment de différences de programme pour que l’on s’y penche vraiment, que l’on se mobilise en masse dimanche et que l’on manifeste une opinion tranchée.

L’objectif réformateur de François Fillon est louable mais la méthode bien trop brutale et marqué par un libéralisme sans garde-fou.

En effet, la remise en cause profonde du système social français associée au libéralisme économique risquent d’augmenter la fracture entre la France qui réussit et celle qui décroche.

C’est aussi une stigmatisation de la fonction publique, le risque de dégrader le service public, de réduire encore l’investissement public local, de rendre plus coûteux l’accès aux prestations de santé, de nuire au pouvoir d’achat et au final à la croissance. Ce programme est donc très clivant et il sera difficile à appliquer sans blocage du pays. Avant cela, il y a la perspective de l’élection présidentielle, or c’est un programme qui ne facilitera pas le rassemblement au-delà de l’électorat de droite, à commencer par les centristes. La présidentielle n’est pas jouée, il faudra une large alliance d’alternance pour gagner face au gouvernants sortants et face à l’extrême droite.

C’est un des atouts majeurs d’Alain Juppé qui par sa personnalité et son positionnement est un formidable rassembleur capable de dépasser les clivages. Il est donc le mieux placé pour gagner la présidentielle mais également pour gouverner en s’appuyant sur une large base, condition préalable à toute volonté de réforme profonde du pays.

Le programme d’Alain Juppé est aussi ambitieux que celui de François Fillon mais plus réaliste dans ses objectifs et surtout plus efficace dans sa méthode, à la fois rapide (grâce à la prise d’ordonnances) et plus progressive.

Pour Alain Juppé, l’Etat et des collectivités locales doivent être plus impliqués en matière sociale et économique que la vision de François Fillon. Il faut réformer l’Etat, améliorer sa gestion, mais sans renoncer au modèle social français. Pas question d’abandonner la sécurité sociale ou les services publics. Il faut libérer l’économie mais en priorisant le retour à l’emploi des Français les plus exclus. Cette approche amène aussi à avoir une vision pour l’économie de demain tant en matière de développement durable que de numérique.

Au moment où l’Union Européenne est en train de prendre conscience des effets pervers de l’excès d’austérité, n’ayons pas un train de retard et réformons notre pays avec le souci de n’oublier personne en route.

Demain votez et faites voter pour Alain Juppé !

7 bonnes raisons d’aller voter à la primaire

urneDimanche aura lieu le premier tour de la primaire de la droite et du centre puis dans une semaine le second tour.

Cette échéance peut paraitre à première vue comme un enjeu interne très partisan mais il n’en est rien. Au contraire, c’est sans doute la mutation la plus importante de la Vème République depuis le passage au quinquennat. Cette évolution des pratiques politiques peut-être sujette à débat mais c’est une réalité dont il faut tenir compte en tant que citoyen.

Cette primaire est donc une première sélection du futur Président de la République. Mais ce phénomène est renforcé cette fois- ci par la probable présence de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle et la très improbable présence du Président sortant à ce même second tour. Le vainqueur de la primaire de la droite et du centre a donc raisonnablement de forte chance d’être le prochain Président de la République. Tout citoyen qui souhaite avoir une influence maximum sur ce choix ne peut faire l’impasse sur les votes des 20 et 27 novembre. Voilà une 1ère raison d’aller voter à la primaire !

Les sondages semblent indiquer que tout est joué, Alain Juppé va gagner haut la main la primaire. Cette idée laisse penser qu’il n’est pas utile de se déplacer car la défaite de Nicolas Sarkozy est ainsi déjà acquise. En réalité cette idée est la meilleure chance de ce dernier. Les sondages sont trompeurs et leurs marges d’erreurs parfois énormes (la récente élection américaine l’illustre bien). En réalité, Alain Juppé ne gagnera que s’il fait le plein de la participation des modérés, des centristes et des électeurs de gauche déçus. L’électorat de Nicolas Sarkozy sera, lui, très motivé et mobilisé. Voilà une 2ème raison d’aller voter à la primaire !

Les sociétés occidentales, face aux multiples crises qu’elles traversent et face aux effets d’une mondialisation non maîtrisée, sont en train de glisser vers le populisme, le nationalisme et le repli sur soi. C’est un constat que l’on peut faire dans de nombreux pays dont le dernier en date, les Etats-Unis, avec l’élection de Donald Trump. C’est un phénomène très inquiétant qui n’est pas sans rappeler les prémices d’une période bien sombre du siècle dernier. La France n’y échappe pas avec les extrêmes et en particulier la montée irrésistible de Marine Le Pen. Nicolas Sarkozy utilise aussi les mêmes ressorts populistes tant dans son agressivité que dans les thématiques qu’il défend. Il serait donc terrible d’avoir comme seul choix au second tour de la présidentielle : Nicolas Sarkozy / Marine Le Pen ! Le plus sûr moyen d’éviter ce scénario est de faire battre Nicolas Sarkozy dès la primaire. Voilà une 3ème raison d’aller voter à la primaire !

Une élection présidentielle est souvent l’occasion de candidatures surprises, de révélations et de modes médiatiques. Mais face au péril du populisme et à la situation de la France après le quinquennat de François Hollande, le temps du vote aventureux est révolu. Il faut donc se méfier de la tentation Macron, mirage au milieu du désert politique français. Une fois passées la sympathie et la fraicheur qu’il dégage, sommes-nous vraiment prêts à confier la destinée du pays à un jeune homme de 38 ans à la faible et peu concluante expérience à la tête de l’économie française ? Par ailleurs, son profil n’est pas si révolutionnaire que cela, issu du moule classique de l’ENA puis banquier de la haute finance dont on peut se poser la question de son indépendance vis-à-vis de ces milieux d’affaires. Enfin sa conception de la loyauté et de la droiture laisse perplexe au regard de sa trahison envers François Hollande. A minima, cela pousse à le laisser faire ses preuves à d’autres niveaux avant de lui confier les plus hautes fonctions de la nation. Nous avons besoin, après 5 ans d’amateurisme, d’un Président d’expérience et de sérieux comme Alain Juppé. Voilà une 4ème raison d’aller voter à la primaire !

Il y a un vrai choix de gouvernance à faire pour le prochain quinquennat. Soit on continue à choisir un Président leader d’un camp (droite ou gauche) qui immanquablement finit plus ou moins volontairement à diviser les Français et à bloquer ainsi toute réforme d’ampleur, soit on fait enfin le choix d’un Président capable de rassembler largement et de dépasser les clivages archaïques. Alain Juppé est à ce jour celui qui donne le plus de garanties et de capacités pour répondre à cet enjeu. Le ralliement de François Bayrou doit ainsi être vu comme une preuve de cette capacité et ce n’est qu’un début… Voilà une 5ème raison d’aller voter à la primaire !

Occuper la plus haute fonction de l’Etat demande des qualités hors norme, on a vu le résultat du concept de « président normal ». Il faut aussi de l’expérience et si possible réussie fut-elle locale. C’est encore le meilleur moyen d’inspirer confiance et d’offrir des garanties de succès pour demain. Beaucoup de candidats sont très prompts à maîtriser le verbe mais combien peuvent vraiment se prévaloir d’un vrai bilan positif ? Alain Juppé, lui, en 20 ans a transformé Bordeaux, une grande ville française endormie, en une des villes les plus dynamiques et les plus attractives de France et cela sur bien des aspects (tourisme, cadre de vie, économie…). Voilà une 6ème raison d’aller voter à la primaire !  

Les échecs à réformer la France, comme l’Allemagne par exemple a su le faire, s’expliquent en partie par le souci de nos derniers Présidents à se faire réélire. Cette préoccupation vous amène à faire ce que votre clientèle électorale vous réclame plutôt que de poursuivre une vision à long terme dans l’intérêt général de la nation. La candidature d’Alain Juppé, dont l’âge impose un seul mandat, permet enfin d’espérer une profonde réforme de l’Etat et sa modernisation. Son expérience le pousse à agir vite et avec détermination, sur la base d’une feuille de route validée par la présidentielle. Voilà une 7ème raison d’aller voter à la primaire !

Ces 7 raisons ne sont pas exhaustives et elles poussent à faire le choix d’Alain Juppé. Un Président de transition qui fera un mandat pour agir et répondre à l’urgence du redressement la France. Viendra après, le temps de penser un nouveau modèle de société porté par une nouvelle génération…

Si vous partagez, ne serait-ce qu’une seule de ces raisons d’aller voter à la primaire alors n’hésitez pas, ne laissez pas les autres choisir pour vous, soyez acteur de notre destinée collective.

  • Motivez-vous, même sous la pluie, deux dimanches de suite pour aller voter (attention les procurations ne sont pas possibles).
  • Cherchez votre bureau de vote en fonction de votre habitation sur : primaire2016.org/ou-voter/
  • Signez la phrase « Je partage les valeurs républicaines de la droite et du centre et je m’engage pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France » dont le flou n’engage à pas grand-chose en dehors des grands principes républicains et à ne pas soutenir le Président sortant.
  • Payez 2 euros pour les frais d’organisation (prévoir l’appoint en monnaie)

Tout le monde peut voter, il faut juste une pièce d’identité, pas besoin d’être adhérent à un parti politique.

Les 20 et 27 novembre votez et faites voter pour la France !

Législatives dans le Médoc

1

 

Je suis très honoré d’avoir été choisi par le MoDem, avec le soutien de mon Maire, Laurent Peyrondet, pour les élections législatives dans la 5ème circonscription de la Gironde.

Cette démarche devra s’inscrire dans un large rassemblement afin d’offrir au Médoc le renouveau qu’il mérite.

Mais avant d’aborder ces législatives, la priorité est de faire gagner Alain Juppé à la primaire de la droite et du centre des 20 et 27 novembre. Le grand rassemblement réformateur est en marche !

Retrouvez l’article de Sud Ouest du 5 octobre

Retrouvez l’article d’Aqui.fr du 5 octobre

Sud Ouest: « Virginie Calmels a dévoilé sa liste en Gironde »

Tête de liste de la droite et du centre pour les régionales, Virginie Calmels a présenté sa liste girondine ce vendredi.

GenerationNouvelleRegion2
Virginie Calmels, la tête de liste de la droite et du centre, pour les régionales en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, a présenté sa liste girondine ce vendredi à la Guinguette chez Alriq, à Bordeaux.
Voici les 48 noms de cette liste. Les 12 premiers sont élus en cas de défaite. En cas de victoire, et selon les résultats, cette liste pourra compter entre 25 et 30.

1. Virginie CALMELS, Adjointe au Maire de Bordeaux en charge de l’économie, de l’emploi et de la croissance durable, Chef d’entreprise, 2 enfants, 44 ans.
2. Pierre DURAND, Champion Olympique de sauts d’obstacles à Séoul en 1988 avec Jappeloup, un enfant, 60 ans.
3. Hélène ESTRADE, Maire de Lapouyade, pharmacienne, 2 enfants, 59 ans.
4. Joan TARIS Adjoint au Maire du Bouscat en charge des finances, de l’économie et de l’emploi, directeur de cabinet du Maire de Saint-Médard-en-Jalles, 39 ans.
5. Nathalie DELATTRE, Maire Adjoint de Bordeaux Maritime, Conseillère communautaire, 2 enfants, 47 ans.
6. Yves D’AMECOURT, Maire de Sauveterre-de-Guyenne, Président de la communauté de communes du Sauveterrois, viticulteur, 6 enfants, 47 ans.
7. Martine MOGA, Conseillère régionale, membre du bureau la LICRA Bordeaux-Gironde, 3 enfants, 66 ans.
8. Eddie PUYJALON, Vice-président national de Chasse, Pêche, Nature et Traditions (CPNT) délégué départemental de CNPT, un enfant, 56 ans.
9. Marie Angélique LATOURNERIE, Conseillère municipale de Langon, Directrice d’un laboratoire d’analyses médicales, 4 enfants, 52 ans.10. Nicolas FLORIAN, Conseiller Régional, Adjoint au Maire de Bordeaux en charge des finances, de l’administration générale, des ressources humaines, un enfant, 46 ans.
11. Alexandra SIARRI, Conseillère régionale, Adjointe au Maire de Bordeaux en charge de la cohésion sociale et territoriale, fonctionnaire territoriale, 3 enfants, 43 ans.
12. Aurélien SEBTON, Adjoint au Maire de Talence en charge de la vie associative, de la jeunesse, de la politique de la ville, de la lutte contre les discriminations, chef d’entreprise dans l’hôtellerie et la restauration, 30 ans.
13. Sophie METTE, Conseillère régionale, Conseillère municipale de Bazas, élue communautaire de la Communauté de communes du Bazadais, 3 enfants, 56 ans.
14. Bernard LUMMEAUX, Adjoint au Maire d’Arcachon délégué aux affaires culturelles, Vice Président de la Communauté d’agglomération du bassin d’Arcachon Sud (COBAS), 66 ans.
15. Christelle LAPOUGE, Adjointe au Maire de Latresne en charge du Développement économique et communication, Directrice administrative d’une PME dans l’agro alimentaire, 2 enfants, 43 ans.
16. Mohamed JAMAI, Fondateur, entraineur et éducateur du club de boxe de Pessac Saige, 3 enfants, 49 ans.
17. Sylvie CAZES, Présidente de la fondation de la Cité du Vin, viticultrice, 3 enfants, 60 ans.
18. Nicolas BRUGERE, Adjoint au Maire en charge de la santé, des séniors et de l’autonomie, Vice-Président du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Bordeaux, médecin généraliste, 4 enfants.
19. Aurélie DI CAMILLIO, Adjointe au maire de Pessac secteur 4, déléguée à l’événementiel, collaboratrice d’élus au groupe Communauté d’Avenir à Bordeaux Métropole, 32 ans.
20. Xavier PARIS, Adjoint au Maire de Gujan-Mestras en charge des finances, Vice Président de la Communauté d’agglomération du bassin d’Arcachon Sud (COBAS), agent général d’assurance, 47 ans.
21. Betty OURRY, Chef d’entreprise, Présidente de la délégation régionale de la FCE (Femme Chef d’Entreprise), élue à la CCI de Bordeaux, 4 enfants, 40 ans.
22. Pierre BRAUN, Adjoint au Maire de Saint Médard en Jalles en charge du Sport, de la Jeunesse, de la vie associative et de la communication, 32 ans.
23. Mylène VILLANOVE, Conseillère municipale déléguée de Bordeaux auprès du Maire en charge des relations avec les territoires, Conseillère métropolitaine, 3 enfants, 55 ans.
24. Stephan DELAUX, Adjoint au Maire de Bordeaux en charge du tourisme, de l’animation de la ville, des grands évènements et de la vie du fleuve, Président de l’Office de Tourisme et des Congrès de Bordeaux Métropole, 3 enfants, 63 ans.
25. Catherine VIANDON, Maire de Saint Germain du Puch, Vice Présidente de la Communauté de communes du Libournais, 62 ans.
26. Bernard LAURET, Maire de Saint Emilion, Président de la Communauté de communes du Grand Saint Emilionnais, cadre agricole, 2 enfants, 58 ans.
27. Chantal DUGOURD, Conseillère municipale à Saint Denis de Pile et Conseillère à la Communauté d’Agglomération de Libourne (CALI), 46 ans.
28. Adrien DEBEVER, Adjoint au Maire de Lacanau en charge des finances et de la communication, 37 ans.

Continuer la lecture de Sud Ouest: « Virginie Calmels a dévoilé sa liste en Gironde »

France Bleu Gironde: « Régionales 2015, Virginie Calmels présente sa liste en Gironde »

FBG1

La tête de liste de la droite et du centre en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes a dévoilé vendredi après-midi la composition de la liste qu’elle mène en Gironde pour le scrutin des 6 et 13 décembre. Une équipe selon ses mots, « forte, unie et renouvelée »

Virginie Calmels a choisi vendredi après-midi un lieu plutôt insolite pour présenter sa liste girondine pour les élections régionales des 6 et 13 décembre : la guinguette Alriq, sur les bords de Garonne, rive droite à Bordeaux, a servi de cadre à cette présentation.

La tête de liste de la droite et du centre en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes qualifie elle-même cette équipe de « forte, unie, renouvelée », avec comme la loi l’exige, la parité parfaite : 24 femmes, 24 hommes.  En cas de victoire, 25 à 30 de ces candidats pourraient siéger  en cas de défaite, les 12 premiers pourraient être élus.

Cette liste répond à un savant dosage, en respectant d’abord les équilibres entre les Républicains, l’UDI, le MODEM, CPNT et la société civile,  ensuite entre élus de terrain, représentant tout le territoire géographique, et membres de la société civile. 

FBG2« Chacun dans son domaine apporte son expertise, avec beaucoup de nouveaux venus, face aux gens du système (NDLR : la liste d’Alain Rousset) » Virginie Calmels

Parmi ceux qui s’engagent pour la première fois en politique : Betty Ourry. Cette chef d’entreprise de 40 ans dirige une société d’équipement électronique à Gradignan.

« Il faut arrêter de râler dans son coin, à un moment donné, il faut agir. Celà fait 15 ans que je suis chef d’entreprise, dans un contexte économique difficile, et je pense que je peux amener quelque chose » Betty Ourry, 21ème de la liste de la droite et du centre en Gironde.

D’anciens sportifs figurent aussi sur cette liste :  Outre Pierre Durand, l’ancien champion olympique d’équitation qui occupe la 2ème position, on trouve aussi  Matthieu Bisseni, ancien international de basket, ou bien encore Mohamed Jamai, entraîneur du club de boxe de Pessac-Saige

« Je suis comme disait Djamel Bourras français de branche, et les gens pourront s’identifier à mon parcours. Moi ce qui m’intéresse, dans le domaine sportif comme dans la vie, c’est de faire bouger les choses » Mohamed Jamai, 15ème de la liste.

6 conseillers régionaux sortant font partie des 48 candidats : Helène Estrade, maire de Lapouyade, n°3; Martine Moga, n°7; Nicolas Florian en 10ème position, Alexandra Siarri en 11ème place, Sophie Mette 13ème, et Dominique Ducassou, en 48ème et dernière position. Virginie Calmels explique qu’elle a choisi des candidats qui une fois élus, siégeront quoi qu’il se passe dans la nouvelle assemblée régionale.

« J’ai choisi des personnes qui ont envie comme moi d’être engagé demain dans leur mandat régional. Comme moi d’ailleurs, je le répète : si je suis élue présidente de la région, j’abandonnerai mon mandat d’adjoint au maire de Bordeaux » Virginie Calmels.

Source : France Bleu Gironde du 30/10/15